Envie de rire

Je vien de rentré du lycée!
J'ai du chocolat partout autour de la bouche,
Ben, oui , je vien de gouter...^^
En tout cas une belle journée!
Il ma regardée xD
Enfin je crois,
Je sais pas...
Bref, mon Hirondelle,
Alors s'a y est tu prends un sourire?
Qui passe, Certe,
Ou peut être,
Que tu tes levre, il restera...
Hummm, c'est bon le chocolat! ^^

Oui c'est bon le chocolat
Attention, c'est un peu gras
Ils m'ont achevée...
Le sourire est passé
La peine est de retour...

Oh!!! Non, Pas elle!
Elle,est pas belle la peine!
Elle asombri les visage,
Elle ilumine ta cage...
Parti! Le sourrire...
Dommage, il était beau...
J'aimerai bien avec quelque mots,
le retenir...

Je peux?

Je ne sais pas
Je le vois fuir
Dis, ils courent vite tes mots ?

Je ne sais pas...
Sa depend des fois...
Quand je suis heureuse,
Ils ils voyaget à travers ma plume,
Quand je suis Malheureuse,
Ils attrapent un ruhme...
Il peuvent être roche,
Comme ils peuvent être roche...

Les miens sont pierre
Les miens n'exhaussent pas de prière
Les miens sont là
Durs et las
Ils se croisent
S'embrasent
Vivent quelques minutes
POur mourir au fond d'un pot de nut'
Je ne suis pas là pour sourire
Je suis là pour mourir
Je ne sais plus
En fait
L'espoir est peut-être revenu
L'espoir d'un monde inconnu
L'espoir d'un Monde plus pur

Ton espoir ne se trompe pas...
Il y a un autre monde que celui-là...
Malheureusement tu ne le connaît pas.
Le monde des rêves,
Le monde des illusions...
Ce monde, que j'arpente sans trève,
Je m'y sens bien, il sens bon.
Mais, ta cage,
Ne c'est pas ouverte face à lui,
C'est dommage,
Car, il vaut la nuit.

Rien ne vaut la nuit
La nuit pleine de diamants
De rêves et de beaux chants
La nuit à la couleur assombrie
Sa robe de soirée parée de milliers d'étoile
Sa robe de Bal
La nuit et la pluie
Sont ce que j'ai de plus chers
Après vous
Et les mots
Les mots qui soignent nos maux...

Mais...Moi, Je n'écrit pas pour être soignée...
Mon ceur, est loin d'être bléssé...
Je suis heureuse de vire...
Alors pourquoi écrire?

Tu écris pour toi
Tu écris pour moi
Tu écris pour chanter la vie
Moi j'écris pour lui dire mon malheur
Chacun a son heure
La tienne est au bonheur
La mienne...
Tu le sais
Mais l'horloge tourne...
J'espère que la tienne de pendule
Ne prendra aucune virgule
Qu'elle est restée et qu'elle restera bloquée au sourire...

tu as surement raison.
Je n'écris pas pour la guérision.
J'écrit pour encore plus sourire,
Pour après en rire.
J'écris pour dire,
Au autres qu'il faut vivre.

Tu veux rendre les autres ivres
Les faire sourire
Au côté de tes mots heureux
Tu veux qu'ils se libèrent de leurs maux
Mais leurs coeurs boueux
Ne sont pas toujours à l'écoute
De ta farandolle de lettres
De lettres joyeuses
De syllabes dansantes
De consonnes chantantes
De tes mots vitaux
Ils restent cloîtrés dans leurs prisons
Je parle aussi de l'Hirondelle
Ele cherche toujours la bonne ritournelle...

Toujours dans sa cage...
Je la regarde tu sais,
Je sens sa rage,
Je l'entend criée...
Mais comme tu le di, si bien,
Mes mots sont trop joyeux...
Malgrès, qu'ils se melent aux siens.

Oui, elle est dans sa cage
Oui elle s'enrage
Contre son plumage
Contre les belles images
Qu'elle voit sur son passage
Mais qui ne sont que mirages
Elle agonise sur une plage
Déserte faite de sable
De roche et des coquillages morts
Entourée de poteaux de bois
Sa plage m'appelle, moi
Marie, moi, qui ne devait être que sage
Mais qui se rebelle
Ce doit être l'âge
L'âge de quoi ?
L'âge de réapparaître
Après des mois d'absences
Elle est de retour, avec de l'essence
L'essence vitale
Vitale et végétale...

C'est triste se que me dis...
Petite larme à l'oeil,
Mon sourire s'en va en deuil...
Je sais que je ne peux pas t'aider...
que je ne peux pas te faire t'envoler...
Je me retire,
J'y crois encore,
Sourire,
Loin des morts...
Instant de déprime.

Non ce n'est pas triste
Je reviens comme le Christ
Je ressucite doucement
En marchant sur le sable blanc
Ne déprime pas
Encore moins pour moi
Je me suis mal exprimée
Mes mots ont dépassé ma pensée...

Déprime, partie!!!
j'avais juste besoin
Qu'on me dise: Ne déprime pas...
Elle s'en est allez aussitôt...
Elle est repartie faire Dodo...
Ma déprime elle est fégnante!
T'en mieux! Je suis gagnante...

Oui, tu es la grande gagnante
Celle à qui j'offre mes yeux
Celle qui a enlevé l'amiante
De mon coeur pieux

J'aime les gagnants
Et pourtant je suis perdante
Je ne met pas de gants
Pour toucher la menthe

La menthe verte
La menthe qui sent le frais
La menthe qui à moi s'est ouverte
La menthe douce, elle aime le vrai

Alors
Je m'en vais
Je sors de mon enveloppe de chair
Je sors de cette Marie
J'enfile mes ailes
Je m'en vais
Je vole vers le vrai
Vers le frais
Je vole vers la menthe...

Tu sais,
J'aime m'éxprimer,
Et m'ouvrire,
J'aime sourire,
J'aime éxister...
Tu sais, moi,
Il m'en faut de peu,
Pour que je dévoile tout
Il m'en faut peu,
Pour en prendre un coup...
Les gens, ne sont pas tous gentil,
Et à Mon plus grand regret,
Ils ne sont pas tous punis...
Toi,
Je t'ai tout di,
Je t'ai confier,
Je t'ai dis la couleur de ses yeux,
Ses lèvres joliment dessinées...
Même si, ma vie n'est pas malheureuse...
Par ce que j'aime qu'on m'écoute...
Juste merci de m'avoir écouter
Juste merci, d'être allez chercher la menthe.
Je ne souffre pas, certe...
Tu à raison,
La menthe sens Bon,
La menthe...

Non
Tu n'as pas à me dire merci
Je me sens pettie face à tout ceci
J'irai te chercher plus de menthe
Si tu me veux battante
J'irai courir les prés
Pour trouver cette plante désirée
Je te remercie
Plus encore
Je veux te donner de l'or
L'or de ma nuit
Merci à mes soeurs de plume aussi
Merci pour tout
Pour cette petite clée
Que peu à peu j'arrive à chercher
Je retrouve l'envie
De sourir à la vie
Je ne veux pas vous décevoir
Je me vois déjà sortir du noir...

Je sourit,
encore... en lisant ceci
J'aime sentir la joie,
Je sais que tu en a!
Peu, mais je la voi...
Je pense que...
Rien en faite...
Je ne pense pas.
J'aime tes mots,
Et ta vision.
J'aime tes maux,
Car ils sont Beaux...

Veux-tu alors que je garde ma douleur ?
Que je joue avec mon mal
Que je rééteigne ma lueur
Puisque mes maux sont pour toi un bal
Je ne sais pas si j'y arriverai
Mais de savoir que tu aimes mes mots
Mes lettres, mes consonnes, mes voyelles
Me donne envie de danser sous une ombrelle
Reculée du soleil brûlant
Juste sous l'ombre du néan...

Ta douleur...
Non je ne veux pas que tu la garde...
Elle, te raconte tous ses malheurs,
Tu la regarde,
Tu la prend...
Elle t'habite...
Elle t'étripe...
Tu la haie,
Ou tu l'aime?
J'en sais rien,
Je m'en fous.
Je sais aussi, qu'il n'y a pas qu'elle,
Qui te dicte tes vers.

Et pourtant je m'en sentais prisonnière
Mais transparente comme le verre
J'ai su me glisser entre ses barreaux
Ses barreaux de haine et de maux
Mes vers ne me sont dictés
Ils sont innés
Ils ne riment pas tous
Mais rien ne nous y pousse
Rien ne nous oblige
Rien ne créé de litige
Si l'on ne fait pas de rime
Peu importe, on trime...
On trime pour le bien
Comme mes anciens barreaux pour le mal...
Je veux être là pour son funeste bal...

Quel talent!
J'aimerai en faire autant...
Soeur de plume, je lis que tu es sortie de ta prison,
J'espère que ce sera pour de bon.

Je ne sais pas
Je traînerai sûrement toujours une petite chaîne derrière moi
Mais peu m'importe
Tant qu'elle est petite, mes chevilles la supportent...
Alors je volerai mieux
Le jour où elle sera tombée
Et où le soleil hargneux
Sera à jamais caché
Où la pluie et le gris feront deux
Où la soie et moi ne feront qu'un
Me retrouver dans un lit à baldaquin
Entourée de princes aux visages enfantins...

Envole toi petite hirondelle, lumiere de mes nuits... </3

Je m'envole
Même si je traîne de l'aile
Je laisse les ampoules artificielles
Allumer ta vie
Je ne suis qu'un piètre oiseau chanteur
Oiseau de malheur
Mais ne t'inquiète pas
Je veille sur tes nuits...

Dites moi, c'est vous mes marchants de sable?
J'ai une vie au sirop d'airable!
Avec vous qui me berce,
Voila, que la vie est une carresse.
Merci d'écouter...
Merci de parler,
Merci d'être là.
Simplement merci pour sa.
Après tous ces remerciments,
Je souris encore!
Je souris au present!
Et je m'endore,
Vos chants me détende.

Merci...

Merci à toi surtout
Tes paroles me sauvent
Je ne suis plus un fauve
Qui vit reculé de tout
Je suis redevenue humaine
Grâce à tes mots heureux
Doux et chaud comme de la laine
Je vous aime toutes
Plus rien ne m'importe en somme toute
A part vos coeurs
A part vos moeurs
A part vous, mes soeurs...

C'est Magnifique..<333

Espérons que vous continuerez Very Happy

Cela commence a faire longtent n'es ce pas ?
Que les mots ne se tracent plus...
Cela fait un moment déja,
Qu'il ne sont plus si crus...
Petite Hirondelle est partit...
Petite Mero à suivie...
Aux nouvelles et nouveaux qui arrivent,
Donnez nous l'envie d'écrire.

Mon coeur se serre.
Je me suis éloignée, sans le vouloir.
Je me sens plus terre à terre,
Mais les mots sur moi n'ont pas perdu leur pouvoir.
J'ai écris, j'ai grandis.
J'ai lutté, je me suis plus ou moins trouvée.

J'ai un grand projet, une vingtaines de pages déjà noircies...
Mais le temps m'empèche d'avancer.
Je me sens démunie
Ne ne pas avoir le moyens de m'en liberer.

Contraintes du monde,
Maîtresse de nos devoirs quotidient...
Je souhaite qu'elle me laisse continuer mon conte
Pourtant face à elle je ne peux rien.

Pardon, pardon,
Je ne trouve pas d'autre mot.
J'espère encore rêver par vos nouvelles inventions,
Ne laissons pas la vie s'éteindre de nouveau.

Un jour peut être tu nous écrira ton projet.
Sache qu'il m'intrigue...
J'aimerai savoir ma Mero... Juste savoir d'où vienne tes mots ?
Mais je sais déja qu'ils viennent de loin.

» Enfin... L'envie