Envie de rire

Allez, sourris!
Je veux te voir rire!
Fini, les pleurs indésiables,
Fini, les larmes sur ton visage.
Regardes dehors,
Le soleil, est or!
Regardes l'oiseau s'envole,
Le vent l'emporte,
Toi, tu reste au sol.
Mais, regarde mieux,
Plisse un peu tes yeux.
Tu percerveras, peut être, l'oeil de l'oiseau joueur...
Tu vérra,qu'il est joyeux et rieur.
Cette beauté de nature,
Regarde la bien,
Ne vaut elle pas un sourire?
Elle a surmontée tempêtes et pluie,
Mais, elle toujour aussi belle,
Petite Hirondelle,
S'il te plait, ne laisse pas tes soucis,
Détruire tes plus beaux rêves.
Même si tu reste clouée au sol,
Dans ta tête prend ton envole.
S'il te plait, tes beaux et jolis rêves,
Par mon poème réalise-les.

^^

<3
Allez petite hirondelle vole
Ne reste pas clouée au sol
Mais si seulement je pouvais me relever
Malheureusement mon aile est cassée
Ne dit pas ça petit oiseau
Regarde par le carreau
La vie est si jolie
La vie ?
mais je ne la vois pas
C'est quoi ?
La vie ?
Tu me demandes ce qu'est la vie ?
Mais enfin tu sais
C'est quand on écrit

Une aile cassée n'empèche rien,
Allez, revèle toi!
File vers ton doux destin.
Petite Hirondelle,
Jolie Hirondelle,
De tes plumes,
Tu peux écrire tes plus beaux rêve.
Petite Hirondelle,
soigne ton aile
Puis vole vers ces rêves!

roOoOO TRoOoO Maniifiiquue ! ! !

Ces rêves ?
Mais tu rêves ?
Tu y arrives toi ?
Sans que la réalité ne te rattrape par le bras ?
Je sais pas moi ...
Je tombe toujours bas
La guerre de ma vérité ne fait pas de trèves
Je rêve, je rêve
Mais je meure
Mais j'écris
Et je ressucite
Et je vous incite
A prendre une de vos plumes
A surpasser vos rhumes
Vos rhumes de vie
A user votre encre
A déchirer votre papier
A souffrir pour écrire
A mourir pour revivre mieux
Ne vous laissez pas porter par le vent
Laissez vos mains inscrire votre mal
Sur le parchemin caché dans votre malle...

Moi, oui, je rêve
J'aime,
m'en aller
Me perdre dans mes penées...
Tu n'y arrive pas, toi?
Ferme les yeux et tu verra.
Les images se succèdent,
Pour faire place à un beau rêve.
Essaye et tu verra...
Se n'est pas si dure que sa...
Et quand tu te reveillera,
Ecrit et décrit,
Ce rève fou.
Sa t'évitera de retouner,
Directement à la dur réalité.

Ecrire ?
Mais je le fais dja
Ca marche pas
Le monde est trop réel
Pour que mes rêves soient éternels
Je ne renonce pourtant pas
J'essaie, je joue, je perds
Je retombe toujours plus bas
Je continues à mes briser les bras
Mes paupières, t'sais
Elles se ferment mais j'en fais pas exprès
C'est la douleur qui les clot
Comme une danse morbide
Je sens ma vie qui se vide...

Tu sens ta vie qui se vide?
Et moi je ne sais quoi te dire...
Ne sais quoi te repondre...
Tu t'es cassée tes jolies ailes?
C'est si tiste, petite hirondelle...
Vois tu la vie en noir?
Pourtant, elle n'ai pas toujours en couleur désespoire...
Tu écrit,
Tu le fais si bien...
Et moi j'écrit des mots,
Pour encore, rêver par les tiens...

Je ne fais rêver personne
Mes mots ne parle que de réalité
Oui, mes ailes sont brisées
Je suis même aphone
Ma voix a disparu
Un matin que je me réveillais
Elle est partie, n'est pas revenue
Alors j'écris pour être ce que je sais
Mais je ne sais pas grand chose
Alors je ne suis rien
Mais je continue à écrire
Et savoir pour devenir quelqu'un
C'est si dur de survivre
Lorsque même ses envies sont écorchées

Tu ne crois donc pas en rêve?
Ne dis pas que tu n'es rien!
S'il te plait, ne dis pas que tu ne vis pas...
Car regarde tu est là...
Là, à écrire avec moi...
A écrire pour toi...
Sa te libère?
D'une soufrance mère.
Tu es la seule à la comprendre...
Je me trompe?
Cette soufrance acide,
Qui pese sur toi,
Si tu pourais me la décrire?
Juste une fois....?

Non je ne peux pas
Ou peut-être
Peut-être un manque de liberté
Une vie trop bien casée
Un manque de voix
Pour parler de mon malheur
Ma tristesse si pitoyable
Qui tient en une infinité de jours
Mon sang ne fait qu'un tour
Par minute de mes sourires
Et pourtant oui je souris
Oui je m'amuse
Avec toujours cette tristesse dans l'explosion de ma joie
Tristesse dissoute dans l'acide de mon faux bonheur
Mais je suis la meilleure des comédiennes
Celle qui ment tout le temps sans gênes
Mon masque ne tombe que dans mes mots
Plongé dans le flot de l'encre...

Wao...
Trop la classe !

Le meilleur est de *caligraphie*

Une tristesse n'est jaimais pitoyable!
Surtout, si tu recherche tendresse au près des mots!
Tu vois, à moi tu ne me mens pas...
Simplement pas ce que tu me parle en vers,
Continus de me parler de ton mal être...
Tu dis manque de liberté,
Petite hirondelle étouffé?...
Non, je ne veux pas!
Tu souris aux gens qui croivent tes mensonges,
Mais intérieurement, tu pleure le mal qui te ronge.
En écrivant tu fait tomber les masques?
Moi, au contraire, dans l'écriture, je me cache.
Continu, s'il te plais...
Maintenant que j'ai compris,
le pourquoi, tu écris.

Nan, pas d'acor, c'et toi la meilleur!

Arrête
Arrête
Je vais trop loin
A force d'être franche
A force de me libérer
Je t'empêche de parler
Je suis désolée
Oui j'écris pour ça
Sortir de ma prison dorée
Le mérite te reviens,
Tu as gagné ma confiance
Je t'ai fait de vagues confidences
Vagues mais profondes
Tu as vu en moi une personne bien malheureuse
Je ne suis pas peureuse
Mais là
Je frissonne

J'arrêtes,
Si tu veux...
Mais j'aimerais bien pouvoir,
Au moins te tenir la main,
A travers les barreaux,
Couleur or, mirroir
Ta prison dorée...
Peut être pas te libérer,
Nan, juste t'accompagner...
En parlant de prison dorée...
La tienne,
Est elle Belle?
Je ne compte pas y entrer!
Je veux juste savoir...
Car moi, de prison,
Je n'en ai pas...
Et, oui...
J'en ai de la chance...
Mais j'aimerai juste savoir...
Comment est la petite prison dorée,
Qui empèche mon Hirondelle de s'envoler?

Elle est petite
Opressante
Inquiétante
Des yeux jaunis rôdent autour
Je n'ai pas peur
Je n'ai pas le choix
Je ne sais pas si tu s'rais capable de tenir ma main
Elle glisse à cause de sa faim
Sa soif d'écrire
Une hirondelle pourrait passer entre les barreaux
Alors pourquoi pas moi?
Pourquoi faut-il que je reste perchée en bas ?
Que je me torde dans mes draps ?
Tu veux m'accompagner ?
Dans ma prison dorée ?
Aurais-tu perdu la tête petite Colombe ?
Ne salis pas tes plumes blanches
Blanches comme la paix
Ne gâches pas ta chance...

Tu sais...
Mes ailes blanches...
Blanche, comme tu dis,
Blanches, comme la paix...
Peuvent, peut être t'aider?
Tu sais...
Je ne risque pas
je me renfermer,
J'aime, bien trop la vie...
Même ta petite prison dorée,
Ne pourait pas m'enfermer...
J'aime bien trop la vie...
Je veux que tu l'aime aussi...
Et si,
Je n'arrive pas à te la faire aimer,
Alors, ma jolie Hirondelle,
Si la vie, tu n'arrive pas à l'accepter,
Ma petite Hirondelle...
Je dirais au deux yeux jaunes,
De prendre mes ailes,
Et de te laisser en paix.
Car moi, des ailes...
Je n'en ai pas besoin...

Je sais pas quoi te dire
Je peux pas mentir
Je ne t'ai pas fait subir
Mes faussetés protectrices
Je ne commencerai pas à changer
Merci
Mais les yeux n'ont pas b'soin d'ailes
Ils ne me font pas peur
Ne t'inquiète pas
Non ce n'est pas ça
Mais tourner en rond dans ma cage
Fait de ma vie un carnage
Chaque fois que je sors
Je ne supporte pas le "dehors"
Offre moi le ciel
Peut-être serais-je moins superficielle...

Ne change pas!
S'il te plait, reste toi!
Si les yeux ne te font pas peur...
Alors, je garde mes ailes...
Si tu veux je peux essayer de te montrer mon ciel...
Il est un peu gris en se moment...
Quelque question existencielles,
me pèsent...
Oh, rien de grave,
Le ciel reviendra, vite à la normal...
Un jeune garçon me tourmente...
Tu vois, se n'ai rien de mal.
Le ciel, en un petit sourire
Redeviendra couleur rire.
Je sourris,
Le voila bleu,
Regarde le.
Si tu arrive à le voir...
Es il beau?

Je ne l'apperçois pas derrière mes barreaux
J'ai du mal à me lever de mon banc ivoire
La lutte courbe mon dos
Mes yeux n'arrivent plus à voir
Mais que se passe-t-il ?
Même si le monde est hostile
La vie ne veut plus m'avoir ?
Eh bien tant pis
J'ai décidé de me battre
Tant pis si elle n'est pas belle
Je vais y écorcher mes ailes
Mais tant pis pour elle
Mes lèvres restent closes
Mais mes mains continuer de tracer
Des lettres rondes sur le papier
Mais toi, dis-moi
Ce garçon qui te tourmente
Il a les yeux couleur menthe ?
Je voudrais savoir
S'il est beau à voir
Si son coeur est pur
Ne te cache pas sous des consonnes
Les syllabes ne mentent pas
Allez parle moi ...

Te parler de lui?
Je ne l'ai pas choisi,
Mes yeux l'on trouvé
J'arrive pas à le chasser
De mes belles pensées...
Il a les lèvres rouge,
rouge, comme les roses d'été...
Surment, un rouge empoisoné.
Il est grand,
avec un sourire d'ange...
Sa voix?
Je ne peux pas te dire
Je ne lui est jamais parler...
Oui, Tu peux en rire.
Mais, il est vrai,
qu'il m'intimide...

Un bel inconnu ?
Aux lèvres rouges ?
Je n'en ris pas
Jamais je ne ris
Tu le sais
Et si tu me l'as dit
C'est tu as confiance en ce que tu es
N'aie pas peur
Tu ne le connais pas ?
Me connaîs tu moi ?
Non et regarde ça
Tu me l'as dit
Sans honte ni gêne
Il n'y a pas de problème
Et même si tu ne le vois jamais
Même si tu ne sais pas qui il est
Même si sa voix ne chante pas pour toi
Laisse toi porter à sa bouche
Lance lui tes mots à la louche
Dis-lui...

Lui dire?
Je l'ai vu Samedi...
Il y avait musique et rire.
Je me suis callée contre lui,
Il ma adressé un sourire,
Puis il est parti...
J'aurais voulu arrêter le temps,
Si tu savait...
Comme j'aurais voulu stoper la vie.
Lundi,
Comme à son Habitude,
Il ne me voit pas...
A si!
J'ai le droit, à quelques regards en coin.
Tu sais, lui dire...
J'aimerai bien,
Mais, petite Hirondelle...
C'est comme si,
la vie, ne pouvait pas m'accorder ceci...
Comme si,
La vie, ne veux pas que je me porte à lui.
Et si il est protégé par la vie,
Alors je range mes armes,
Il est intouchable.

Il n'est pas intouchable
Tu t'es callée contre lui
Je sais que ce n'est pas le sujet
Mais tant pis
Vois-tu, je fais partie des gens
Qui nont qu'une étoile
Et cet astre brillant
Qui fait scintiller la seule partie de mon éxistence qui n'est plus nuit noire
C'est toi je crois
Alors merci
De t'être confiée à moi
De m'avoir poussée à te raconter
Ne range pas tes armes
Sors ta lame
Sèche ta larme
Ce garçon te regarde un peu ?
Garde cet espoir lumineux

L'espoir, es là,
A chaque fois que je l'aperçoit.
Que se soit
dans les couloirs
Où le soir...
Je te le dis,
Il n'a pas fini de me sourire.
Je te l'affirme,
Un jour, avec moi, il fera des rimes...^^

J'ai un sourire au coin des lèvres.
C'est fou, le bonheur que sa nos apporte de décrire nos rêves.
Dis, enfin tu vois le ciel?
Car une étoile habite celui-ci...
Doit je comprendre que les barreaux de ta prison dorée,
Se sont un peu écartés?

Il ne se sont pas écartés
Il se sont cassés
Par endroit seulement
Continue de sourire
L'étoile brille plus
Ce sont tes dents
Je les vois
Faiblement
Joyeusement
Et moi jte répond
Tristement
Mais jte répond
Tu m'entends du haut des nuages ?

C'est tellement beau ce que vous nous écrivez là....

'Ci
Tout le mérite est pour ma colombe
Elle est tellement pure

Je souris, je souri!
Là, sa va mieux?
Dans le creu
de mon nuage,
La douceur de mon nuage...
Y'a plus de rage,
Le temps prend le large...
Promi je reste sage...
Je ne laisserai pas mon hirondelle,
Seule, dans sa cage...
Je resterais sur ce nuage.
De tout façon, je l'aime ce nuage.
De ta cage à se nuage,
Je ne fait que t'écouter.

Alors entends mon cri
Très faible
Ma voix revient
Peu à peu
Elle tremble de joie
Dans ton ciel
Tu en discernes les ailes
Aimer un nuage
Tomber amoureuse d'un mirage
La colombe rêve tellement
Tellement bien
Tellement de chance
Ne retonbe pas lourdement
L'été prochain
La migration mes prendra avec elle
Mon aile aura cicatrisé
Les vents chauds m'emporteront loin de la vérité
Et tu sais
Je ne veux pas la connaître la vérité
Qu'elle reste cachée

Si c'est un cri de joie,
Ne t'en fais pas,
Il n'est plus lointaint.
Je ne compte pas tomber,
Sa fais mal?
Je ne sais pas, j'ai jamais testé...
Je suis toujours en train de rêver,
Certes, je me préocupe un peu de la réalié...
Mais un peu,
C'est loin d'ètre beaucoup.
Dis petite hirondelle,
Quand, la migration,
Des beaux et grands oiseaux,
Passera de chercher,
Ou te libérer de ta prison dorée...
Tu passera me dire bonjour,
Sur mon nuage tout doux?

La vérité...
Pas besoin d'la savoir,
Quelle reste dans son dortoir![/b]

Hmm C'est tellement beau... J'adore
Surtout vous aretez pas

Le passage sur le bel inconu Wink

très jolie !

Oui laissons la vérité couchée
Cachons nos envies
Courrons dans les prés
Mais je n'y arrive pas
Je ne peux pas me laisser respirer
Je sens toujours dans l'air mes barreaux se refermer
Alors je ne fais que regarder
Et espérer
Mais l'espoir est tellement désespérant
El le monde se fait de moins en moins enivrant...

On dit,
Que l'espoir fait vivre...
Toi, il te fais mourrir...
Tu ne peux pas?
Ou, tu ne veux pas ?
Dis moi,
A tu vraiment envie,
De sortir de ta cage?
Pourtant, l'air de la vie,
Je sais, qu'il calme ta rage...
Même si tu ne veux pas de lui,
Je sais que tu en meur d'envie...
Mais, ne préssons rien,
La vie peut attendre demain.

Alors j'attendrai demain
Pour le moment
Ma cage me tue mais me protège
Est-elle là pour mon bien ?
Faisons tout en douceur
Calmons mes ardeurs...

Ta cage protectrice,
Fait elle, de toi une tentatrice?
La vue sur monde estérieur...
N'aimerais tu pas connaitre le bonheur?

Si mais si le bonheur réveille ma peur
Alors je préfère rester dans mon malheur
J'attends que les grands oiseaux arrivent et me délivrent
Me délivrent de ma cage
Et qu'en évitant les orages
Nous arrivions à notre terre commune
Où nous rirons sous le soleil prune
Mais j'attends mon temps
Il viendra ptête pas
Mais je me sens mieux
Sachant qu'une étoile brille dans mes cieux...

Ta peur?
Mais, petite hirondelle, quelle peur?
Celle de mettre un pas dehor,
Hors de ta cage d'or?
Oui surement...
Ou peur de la vie?
Peur de sortir?
Car peur de la mort?

ce doit être ça
Peur de la vie...

Que peut elle fair de mal,
la vie,
A pa se qu'elle c'est faire si bien,
Le mal?

Moi la vie
Je ne la connais pas
Alors je la redoute
N'est pas normal
de haïr le mal ?

Je ne sais pas...
Le mal fait partie,
De la vie...
C'est donc pour sa que tu la Haie?

Non je la hais pas
Mais je ne la supporte pas
Mes ailes s'envolent sous le poid
Le poid du vent, des feuilles et de leur olla
Je meurs d'envie de sortir
Je meurs de froid sans ma pitoyable fourure
Et dans ma cage
Je souffle de rage
Et dans ma prison
J'envie vos horizons
Mais je ne bouge pas
Groguie par le froid
J'attends que de jolies mains
Me sortent et réchauffent mes plumes de glas

J'aimerai bien t'sais,
J'aimerais bien t'aider...
Mais, tu ne peux pas...
Je représente la vie...
Elle m'habite...
Tu ne m'accepe pas,
Tu ne me supporte pas...
Je peux juste te regarder de là-haut,
Te parler comme je peux...
Un jour peux être tu me laissera t'aprocher,
Pour le moment, je suis qu'une petite étoile,
Qui aime te parler,
Ce jour, Où tu me laissera te traverser,
Je t'encerclerais,
De ma toile

Mais tu sais que toi, je t'accepte
Seulement
Ta toile
Elle brûles mes poils
A se frotter si fort contre ma peau de pèche
Pied de velour
Hirondelle au coeur lourd
Etoile aux yeux sourds
Nous sommes pris au piège
Tous autant que nous sommes
Par la pureté des mensonges
Et par la douceur des rêves
Une douceur qui varient
Les miens me gifflent
Les tiens ne sont que tendresse
Tant mieux, je suis victime de ma maladresse...

C'est pour sa que ma toile,
Ne te touche pas...
A ras tes poils,
Sa sens le blûler,
Elle à donc décider de senvoler...
Il son méchants,
Tes rêves,
A casser tes chants!
Ils ne veulent pas de tève?
Nan, ils sont méchants...
Si tu veux je peux te préter un peu de trendresse,
Beaucoup il m'en reste...

J'accepte avec ivresse
Découvrir les bras et les caresses
Un peu de douceur dans ce monde dur
Un peu de vie pour détruire mon mur
Ouvrir une faille dans l'armure
Donne moi cette Tendresse
Qui semble secouer mes tresses
Alors, tu n'as pas attendus que je dise oui
Tu les as envoyé sans bruit
Ne dis pas non
Je les sens en bas de mon menton
Juste, merci...

Tu me dis merci...
Je te repond derien,
Puis, je te remercie,
d'avoir écrit avec moi...
Je me sens pleine de vie...
Si tu veux je t'en envoi aussi?
Mais déja la tendresse,
Noye toi dans son ivresse...
C'est bon, nan?
C'est l'extase, nan?
C'est beau et doux....Oui.

Oh merci
Je me sens terriblement mieux
Après cette discussion les yeux dans les yeux
Parcque tu n'le vois pas
Tu n'me vois pas
M'ais j'souris
Oui
J'souris
Pacque tes doigts me chatouillent
Et tes mots de vérité
Qui jamais ne m'ont blessés
Tu as raison, je me suis sousestimée
Je ne suis pas meilleure
Juste mieux
Mieux que dans les cieux
Je suis de nouveau vivante
Plus rien n'est douloureux
Si peut-être un peu
Je ne suis pas invincible
Ni aussi joyeuse que toi
Ma jolie Colombe...

» Enfin... L'envie