Plongeons-nous de nouveau dans la futilité

Je vois que personne n'a d'inspiration ces jours-ci...
Je poste alors ce texte écrit ce soir, en réalité c'est un article de mon blog (comment essayer de tout analyser quand le sommeil ne vient pas...).
Ecrit avec la chanson Demolition Lovers de My Chemical Romance.
Désolée, je sais que ce n'est pas vraiment bien écrit et tout et tout...

" I'm sure it didn't ruin her, just made her more interesting "

Une envie que tout cesse... avant même que tout commence.

On dit parfois que tout arrive pour une raison, que rien n'est dû au hasard et qu'au fond si une mauvaise chose nous arrive c'est qu'on l'a bien cherché quelque part.
Alors pourquoi ceux qui sont heureux s'obstine à vouloir se sentir misérable avec des problèmes à la noix?
Alors pourquoi des personnes qui ont déjà assez souffert n'arrive pas à s'en sortir sans se sentir complètement brisé?

Tu sais, je fais partie de la première catégorie.
La catégorie des gens qui préfère toujours se cacher plutôt que de voir la vérité en face.
Je fais partie de ceux qui n'arrive pas à être heureux avec ce qu'ils ont, tout simplement parce que la réalité reste et restera encore et toujours très décevante par rapport à nos attentes.
Et puis pourquoi se sentir heureux quand on peut être malheureux?
Puisque le malheur n'est simplement qu'un moyen comme un autre pour exprimer ce qui ne va vraiment pas.
Alors les gens comme moi donne à voir le bonheur, tout en ressentant une envie incroyable de pleurer sans en savoir la cause exacte.

Après tout, un miroir n'est que le reflet de ce qu'on lui donne à voir, alors souris et tu te pensera heureuse.

Et j'essaye en vain de consoler quelqu'un qui, dans son malheur, me croit assez raisonnable pour ressentir ce malaise d'une famille qui se déchire.
En égoïste que je suis, le seul malaise que j'ai jamais ressentis m'a toujours concerné.
Et les autres?
Ils ne l'accompagnent pas vraiment.
La seule chose que je puisse faire, c'est essayé de l'aimer comme elle a l'air de le faire. D'être à la hauteur de ses attentes. D'essayer d'être humaine pour une fois.

Mon reflet me souris. C'est que je dois nager dans le bonheur.
Les images posées pour décrire ce mal ne se sont pas effacées, elles sont simplement moins efficace.
Alors le malheur s'estompe peu à peu.

Je dois encore apprendre à moins réagir comme un robot programmé pour ressentir les sentiments des autres.
Seulement j'ai peur qu'ensuite il ne me reste plus grand chose...

[All we are is bullets I mean this]

Bravo! je ne trouve pas grand chose à dire d'autre..
Sa montre que l'on sais se caché derière des masques...

» Perdue dans ton monde