Alors, ça va se finir ainsi.Sans quoi que ce soit pour nous rassurer, pour nous dire qu'au moins, on se seras un jour aimés. On va tout finir comme cela, d'un coup. Pas d'espoir de reprendre un jour. Non, c'est terminé. Je ne prétends pas que ça ne m'atteinds pas, non, bien au contraire. J'ai mal. Dis moi juste qu'il resteras un petit peu d'amour, un peu de ce quelque chose entre nous deux. Ca ne peut pas se finir ainsi, je n'en est pas envie. Je t'ai aimé. Je t'aime toujours. Et il resteras toujours ce petit quelque chose tout au fond. Je ne t'oublierais pas si facilement, non. Je ne peux pas et je n'en ai pas l'envie. Je savais avant de te voir que l'amour faisait mal. Et ça me préparera aux prochaines fois. Oui, la rupture est difficile, tu sais. Mais je fait face. Je garde la tête droite et le sourir aux lêvres. Non, le contraire m'enfoncerait bien trop bas. Je n'irrais pas -réellement- bien avant longtemps. Mais si je peux le faire croire aux autres, je m'arrangerait pour me croire moi même -à me forcer à me croire. A faire semblant, faire comme si j'était totalement heureuse. Je ne parlerais de toi à personne, je ne voudrais pas bousiller mon coeur encore plus, tu sais. Je voudrais encore pouvoir te serrer dans mes bras et sentir tes lêvres bruler les miennes, bruler mon coup, bruler mes doigts et cramer mon coeur. Je veux encore sentir ton bras dérriére ma nuque et ta main sur mon épaule. Je veux que nos corps se collent l'un à l'autre dans un espoir vain de se protéger de ce vent glacial qui gifflent nos joues. Ces mêmes joues que tu couvrais de baisers passionnés. Ca me manque, je vivrais avec -avec l'image d'une fin horriblement stupide pour un premier amour. Mais puisqu'il en est ainsi. Je ferais comme si j'avais oublier les heures passer devant chez toi, toi assis sur ton appuie de fenêtre, moi allongée la tête sur tes genoux, ta main carressant mes cheveux, effleurant mon frond fiévreux d'amour. Et puis, viendras le jour où j'aurais grandis, où j'aurais un boulot et où j'aurais créé une famille. J'aurai encore ton sourire dans l'esprit, graver au fer blanc. J'aurais muris et je me serais rendue compte qu'au fond, cet amour n'était qu'un simple flirt d'enfants. J'en rirais, toi aussi en repensant à moi. Mais vois-tu, je ne t'aurais pas oublié. J'emporterais le souvenir de cette séparation cuisante dans la tombe, sans avoir parler une seule fois de la peine qui m'abritait, je te le jure. Et toi, promet moi de garder un souvenir de moi, quelque part dans ton esprit ou dans ton coeur. Souviens toi juste de mes initiales si c'est ce que tu veux. Mais souviens toi de moi. Souviens toi de l'amour que j'ai put te donner et du bonheur que tu m'as apporté.
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Et bien voila ='). Mon premier texte postée sur ce forum. A dire vrai, j'ai pas mal hésité à le poster ^^'. Mais voila, c'est fait (=.